Moi
j'aime tant les floraisons,
Eh ! tiens ! de maman les yeux simples...
Et peuple aussi vos prunelles
Comme des fleurs me regardant.
Moi
j'aime tant l'étoile vive,
Eh ! tiens ! de maman vois les yeux,
Et peuples aussi vos prunelles
Dont le sourire est d'une étoile.
Moi
j'aime tant les floraisons,
Eh ! tiens ! de maman les yeux calmes...
Et peuples aussi vos prunelles
Dont le sourire est de maman.
Chacun de ses cheveux blancs, - tiens !
Est cimetière d'un printemps,
Moi qui voulais qu'elle vécût
Comme son peuple infiniment...